ENFIN !

Enfin un musée qui, depuis mars dernier, sort Camille CLAUDEL de l’ombre de RODIN. Tout un symbole, puisque 2017 est également l’occasion du centenaire de la disparition du maître.

Plus de 300 œuvres qu’il n’a pas été facile de rassembler, quand on sait qu’en 1912 Camille CLAUDEL en détruisit une grande partie avant d’être internée à l’asile de Ville-Évrard en 1913, sombrant dans la solitude puis la paranoïa. 

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10, rue Gustave Flaubert - 10400 Nogent-sur-Seine

L’exposition «Bons Baisers de Paris», c’est une balade en automobile sur les grands boulevards, c’est une immersion dans le Pigalle de la Belle Époque et des Années folles, c’est la mode bouillonnante aux terrasses des cafés mondains...

« Madeleine-Bastille en impériale »  

La vie parisienne en 60 toiles de Léon Zeytline (1885-1962), peintre post-impressionniste d’origine russe, à qui l’on doit plus de 500 scènes parisiennes.

« Marché aux Fleurs Quai de la Conciergerie »  

Les pinceaux détaillent les monuments parisiens et la vie d’un Paris joyeux. Épaisse et généreuse, sa peinture s’appuie sur un dessin solide et précis pour bâtir de ses couleurs les longues perspectives haussmanniennes.

Musée Fournaise – 78 Chatou
jusqu’au 5 novembre 2017 

« La Couseuse à la robe rouge, Jeanne » - 1907 - Huile sur toile

Henri Charles Manguin, né à Paris en 1874, un incroyable artiste presque tombé dans l’oubli aujourd’hui, pourtant... À l’atelier de Gustave MOREAU qu’il intègre en 1895, il constituera avec Henri MATISSE, Albert MARQUET, Jean PUY et Charles CAMOIN le groupe des futurs fauves.

La peinture fauve s’attache particulièrement au travail de la couleur. Les œuvres sont facilement reconnaissables par l’emploi sur de larges surfaces de couleurs aux teintes éclatantes. Les images figuratives tendent, par la simplification des formes, à une certaine ébauche d’abstraction.

« Aloès en fleurs à Cassis » - 1912 - Huile sur toile

Entre volupté de l’intimité sensible et éclat chatoyant de la couleur,

93 œuvres à voir absolument

Musée des Impressionnismes de Giverny
Jusqu'au 4 novembre 2017 

À travers une centaine d’estampes japonaises issues du fonds de la collection nationale, dont la célèbre « Grande vague » de Hokusai, le Musée Guimet nous invite encore une fois à un éblouissant voyage, celui de la contemplation du paysage dans son plein épanouissement. Les visions panoramiques et impressionnistes exaltent, là, le passage des saisons, plus loin, nous offre une immersion urbaine.

Une véritable palette documentaire toute en finesse et aux subtiles couleurs, pour une description d'itinéraires poétiques au début de l'époque EDO.

Dépêchez-vous !

Musée Guimet – Paris 16^e

jusqu’au 2 Octobre 2017 

James Tissot « Berthe » - Pastel & Graphite 1883

Le Petit Palais va présenter pour la première fois une sélection de près de 150 œuvres réalisées aux pastels. Cette collection veut offrir un panorama exhaustif des principaux courants artistiques de la seconde moitié du XIXe siècle, de l’Impressionnisme au Symbolisme.

Victor Prouvé – « Femme étendue sur un divan » - Pastel 1899

La technique du pastel infiniment séduisante par sa matière et ses couleurs, permet une grande rapidité d’exécution et traduit une grande variété stylistique. De la simple esquisse colorée aux grandes œuvres très achevées, le pastel est à la croisée du dessin et de la peinture. La grande majorité des pièces exposées datées entre 1850 et 1914 illustrent le renouveau du pastel durant la seconde moitié XIXe siècle.

Pierre CARRIER BELLEUSE – « Sur le sable de la dune » - Pastel 1896

L’exposition sera également l’occasion d’initier les visiteurs à la technique du pastel et à la question de la conservation des œuvres sur papier, particulièrement sensibles aux effets de la lumière et qui ne peuvent donc être exposées de façon permanente.

Du 15 septembre 2017 au 8 avril 2018 – Au Petit Palais Paris 8^e