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    * À Vous de Voir * « Au bonheur des dames »

     

     

    La collection Matsuzakaya, fondée en 1611, a joué un rôle majeur dans la production et la diffusion du kimono. Jadis porté comme sous-vêtement par l'aristocratie, il deviendra une parure extérieure adoptée par les Samouraïs, puis par toutes les classes de la population. Avec le mouvement du japonisme au milieu du 19ème siècle, les femmes françaises le porteront comme robe de chambre. 

     

    * À Vous de Voir * « Au bonheur des dames »

    Katabira à motifs de prunier, quadrillage, chrysanthèmes et lespédèzes

    Teinture yuzen et pochoir suri bitta sur fond en lin blanc – Prem. Moitié du XVIIIe siècle

     

     

    * À Vous de Voir * « Au bonheur des dames »

    Kosode à motifs camélia sur fond en satin de soie shusu blanc

    Prem. Moitié du XVIIIe siècle

     

     

    Pas moins de 150 pièces prestigieuses exposées, et c’est l'histoire de ce vêtement essentiel dans la garde-robe japonaise datant de l'époque d'Edo (1603-1868) jusqu'à la période contemporaine et sa place dans la haute couture occidentale (Paul Poiret et Madeleine Vionnet, puis avec Yves Saint Laurent, Jean-Paul Gaultier, John Galliano...) qui nous est contée.

     

     

     

    « Kimono, au bonheur des dames »

    Musée GUIMET Paris 16e - Du 22 février au 22 mai 2017

     

     

     

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    * À Vous de Voir * Centenaire RODIN

     

     

    Le Baiser, Le Penseur, L’Âge d’airainAuguste Rodin s’inscrit comme l’un des pères de la sculpture moderne avec des œuvres toutes plus admirables les unes que les autres. Avant même de grands Maîtres comme Braque, Picasso ou Matisse, c’est lui qui intégra le premier dans son travail la notion « d’accident », inventant l’œuvre non finie (ou « work in progress »), l’aspect partiel et le collage. Cela n’enlève rien à la plastique d'un corps à la fois magnifique et athlétique, à l'expression des postures et des émotions.

     

     

    Afin de comprendre la puissance de ce génie irrégulier, et à l’occasion du centenaire de sa mort, le Grand Palais propose donc un regard nouveau sur cet artiste protéiforme, amant de Camille Claudel, rassemblant ses collectionneurs et les artistes de son temps Carpeaux, Bourdelle, Brancusi, Richier...

     

     

    RODIN Danaïde

    A. RODIN - La Danaïde

     

     

     

    CARPEAUX - Ugolino

    J-B. CARPEAUX - Ugolino et ses fils

     

     

    Camille CLAUDEL Giganti

    C. CLAUDEL - Giganti

     

     

     

    22 Mars 2017 - 31 Juillet 2017

    Grand Palais - Galeries nationales – Paris 8e

     

     

     

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    * À Vous de Voir * 100 ans de Banlieue en Peinture

    Monet – Chemin de Fer à Argenteuil - 1874

     

     

    Près de 140 toiles représentant la diversité de la banlieue parisienne de 1850 à 1950 : paysages naturels, lieux de loisirs, son industrialisation. Mise en scène bucolique ou dénonciation du progrès, la banlieue inspire des peintres comme Monet, Caillebotte, Cézanne, Corot, Daubigny, Lhote, Gromaire, Dufy, Picabia... et d'autres à découvrir comme Éliot ou Hervier.

     

     

     

     

     

    À l’Atelier Grognard – Rueil Malmaison 

    Jusqu’au 10 avril 2017 

     

     

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    * À Vous de Voir * Fantin-Latour au Luxembourg

     

    Cette grande rétrospective de l’œuvre d’Henri Fantin-Latour, depuis la dernière expo dans les galeries nationales du Grand Palais en 1982, met en lumière les œuvres les plus emblématiques de cet artiste connu essentiellement pour ses natures mortes et ses portraits de groupe.

    L’exposition propose un parcours dense rassemblant une soixantaine de tableaux et une trentaine de lithographies, dessins et autres études préparatoires.

     

    * À Vous de Voir * Fantin-Latour au Luxembourg

     

    Au Musée du Luxembourg - Paris 6e

    Jusqu'au 12 février 2017 

     

     

     

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    * À Vous de Voir * Couleur et feuille à feuille de l'ukiyo-e

    5 Bois, 7 passages, 1 Tirage...

     

    Démonstration

     

    Estampe réalisée à 100 exemplaires en co-édition par la Galerie Uki-ga et l’Atelier 2728 à l'occasion de l'exposition « Samouraï 1000 ans d'histoire du Japon » en 2014 au château des Ducs de Bretagne.

    L'artiste BENO avait créé un hommage graphique aux derniers samouraïs photographiés dans les années 1860.

    A partir d'un cliché d'époque dont formes et couleurs ont été recomposées et utilisant la technologie actuelle de la gravure laser sur bois, l’artiste emprunte la technique ancestrale d'impression manuelle couleur par couleur et feuille à feuille de l'ukiyo-e.

     

    Xylographie, 7 passages couleurs dont un passage micacé, papier artisanal japonais Nishinouchi... Le résultat obtenu devient une véritable passerelle entre tradition japonaise et création contemporaine.

     

     

     

     

     

    Alors maintenant revisionnez cette vidéo

    en imaginant le travail d'HOKUSAI sur sa Grande Vague de Kanagawa

    sans l'appui technologique de gravure au laser

     

    ça fait rêver, non ? 

     

     

     

     

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