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    * À Vous de Voir * « Ça va jazzer »

     

    Week-end chargé, au programme :

    Musique blues, swing manouche, gospel et soul.

    Ça va jazzer dans toutes les oreilles.

     

     

    Un des participants annoncés et un p’tit aperçu ?

     

     

    La formation « My Favourite Swing » (teaser)

     

     

     

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    * À Vous de Voir * « Portraits de Cézanne »

     

    Le musée d’Orsay révèle 60 portraits du peintre de la montagne Sainte-Victoire, plus célèbre pour ses paysages et natures mortes.

     

     

    Ici, que du vivant : ses proches, sa mère, son père, son oncle, sa sœur, sa femme, son fils, son marchand d’art, un ami critique, des paysans du coin, et le peintre lui-même. Un Cézanne plus intimiste? Vite dit. Plus il s’approche d’un visage, plus le peintre le rend énigmatique, complexe, méfiant. 

     

     

     

    Musée d'Orsay (75007)

    Du 13 juin 2017 au 26 septembre 2017 

     

     

    Le petit plus... À voir aussi « Cézanne et moi » de Danièle Thompson, sorti en 2016, un film superbe relatant l'amitié entre Paul Cézanne (Guillaume Gallienne) et Émile Zola (Guillaume Canet).

     

    * À Vous de Voir * « Portraits de Cézanne »

    (cliquer sur l'image pour voir la bande annonce)

     

     

     

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    * À Vous de Voir * « Pantone version nature »

     

    Tous les goûts sont dans la nature !

    OK, mais les couleurs ?

    Le graphiste et photographe italien Andrea Antoni le montre en accolant les teintes

    du nuancier Pantone un peu partout (montage photo) :

    en montagne, au bord de la mer, en forêt, dans les villes... 

     

     

    * À Vous de Voir * « Pantone version nature »

     

     

    À retrouver sur sa page Instagram !

     

     

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    * L'ENCRIER * « Ondine »

    VANGELIS - EL GRECO - 5e Mvt

     

     

    Bleu-silence,

    Amniotique.

     

    Corps-interligne,

    Ondoiement.

     

    Souffle-muselière,

    Soustraction.

     

    Tempes-amnésies

    Sédation.

     

    Au pied du mur,

    Reprendre de la longueur...

     

     

     

     

    Anna – Mai 2017

     

     

     

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    * À VOUS DE VOIR * « Premières impressions avant l'Impressionnisme »

     

    Cela faisait près de 40 ans qu'aucune exposition n'avait été dédiée à Camille Pissarro à Paris. C'est chose faite dans cette superbe exposition qui présente les chefs d'œuvre d'une vie, de celui que Cézanne surnommait le "Premier des Impressionnistes"...

     

    * À VOUS DE VOIR * « Premières impressions avant l'Impressionnisme »

     

    Superbe !

     

     

    Musée Marmottan – Paris 16e

    Jusqu'au 2 juillet 2017 

     

     

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    * À VOUS DE VOIR * « Tokyo, le phénix nippon »

     

    Cent cinquante ans, deux destructions, autant de renaissances. Un voyage dans le temps porté par d'époustouflantes archives, du Edo féodal au XIXe siècle à la mégapole sous menace sismiques quasi permanente. Un devenir résolument en renouvellement.

     

    * À VOUS DE VOIR * « Tokyo, le phénix nippon »

    Cliquer sur le logo Arte+7 pour visionner (durée 1h30)

     

    Un magnifique documentaire riche d’archives.

    À ne pas manquer sur ARTE+7

     

     

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    * L'ENCRIER * « Orpiment »

    Nappe de colza à l'infini - Avril 2017

     

     

    Du soleil en veux-tu ?

    Sculpté. À même la terre

    Beurrée sous la lisière du ciel.

     

    De l’or en voilà !

    Du baume et des onguents,

    Au saint chrême parfumé.

     

    Vague huileuse et fluide,

    Fluorescence végétale,

    Voici l’été venant au vent.

     

     

     

    Anna – Avril 2017

     

     

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    * À VOUS DE VOIR * « Une nuit au Musée »

     

    Samedi 20 mai 2017, c’est la 13ème année consécutive de la Nuit Européenne des Musées. 

    Osons une Ode à la nuit avec l’expo « Au-delà des Etoiles, le paysage mystique de Monet à Kandinsky » dans notre musée chouchou. Plongez au cœur des paysages qui ont inspiré les plus grands artistes,tels Monet, Munch, Van Gogh, Gauguin, Chagall ou Kandinsky...

    Une balade nous guidant à la découverte de talents moins connus : Giorgia O'Keefe, Emily Carr, ou Ferdinand Hodler.

    Une nuit qui nous redonnerait foi en la nature ?

    Mystique ? Mystère !

     

    * À VOUS DE VOIR * « Une nuit au Musée »

    Quand Chicago prend des couleurs de nuit étoilée... Jolie parodie

     

     

     

     

    Faites de beaux rêves !

     

    Musée d’Orsay – Paris 7e  

    de 18h00 à 23h30 - Jusqu'au 25 juin 2017 

     

     

     

     

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    « Qui n'a pas connu le bonheur n'en sait guère donner. »
    Henri-Frédéric Amiel (1869)

     

    Maintenant, à vous de voir ce que vous ferez

    du peu que l'on vous offre...

     

     

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    * L'ENCRIER * « 360° Prime Vert»

     

     

    Devant,

    Matin-brume, frissonnant aux épaules,

    Barbouille le vert et trouble l’aurore,

    Camouflage de papier calque.

     

    Là-bas,

    Une armée de tronc encore gris

    Émerge par-dessus l’artifice,

    Horizon hérisson.

     

    À côté,

    Les moignons de platanes effanés

    Hurlent branches au ciel

    Leur manque d’oxygène.

     

    Ici,

    Le talus s'envahit du sauvage séneçon,

    Précipitant au vent frileux

    Sa plumeuse moisson.

     

    Plus loin,

    L’appel à peine feutré d’un coucou

    Entrouvre le bouquet feuillu,

    Révérence cadencée.

     

     

     

    Anna – Avril 2017

     

     

     

     

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    * À Vous de Voir * « Œufs sans chocolat »

     

    Joyeuses Pâques !

     

     

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    * L'ENCRIER * « Désinvolture»

     

     

    La Liberté se tire comme un sac à mains arraché 

    sur un trottoir un soir de cavale sous un ciel sans cri.

     

     

     

    « Petites Pensées Valériennes » - Décembre 2015

     

     

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    * L'ENCRIER * «  Sakura »

     

    «  Sakura »

     

    Boutons de cerises.

    Gare aux prochains étourneaux,

    Ou noyaux au sol !

     

     

    Anna - Avril 2017

     

     

     

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    * À Vous de Voir * Restons encore un peu avec le Japon

    23e édition du PARIS MANGA & SCI-FI SHOW à la Porte de Versailles.

     

     

    On en profite pour réviser... Vous avez dit « manga » ?

    Inventé par Katsushika Hokusai (encore et toujours la trace du maître), le terme manga signifie littéralement "image dérisoire". Les « manga » de Hokusai sont des estampes caricaturant des personnages populaires. Ce type de représentation, leur style et leur audace, ont fini par donner naissance à une forme d'expression graphique à part entière, au même titre que le comic-book aux États-Unis ou la Bande Dessinée franco-belge en Europe. Au Japon, le terme manga désigne tout simplement la bande dessinée au sens large, alors qu'en Occident il a une signification et une connotation incontestablement nippones.

    Néanmoins les codes et particularités du manga ne doivent pas masquer une évidence : le manga, ce n'est rien d'autre que de la BD. À ceci près que cette dernière a influencé bon nombre d'artistes tels que James Cameron (Aliens, le retour), Christophe Gans (Le Pacte des Loups), Luc Besson (Le Cinquième Élément), les frères Wachowsky (The Matrix) et d'innombrables auteurs de BD.

    De par leur écriture même, les Japonais ont un rapport étroit avec le dessin dès leur plus jeune âge. Mieux que quiconque, ils ont parfaitement compris et intégré la force de l’épure : le trait brut, la ligne dans toute sa sobriété, et sans artifices pouvant altérer son sens. Si nous pouvons nous vanter d’un véritable patrimoine culturel et graphique, les Japonais héritent eux aussi d’une tradition picturale très poussée, et souvent trop méconnue en Occident. On parle davantage des estampes qui ont inspiré Van Gogh que des e-makimono, larges rouleaux peints que l’on dépliait et qui narraient toutes sortes de récits (aventures, guerres, contes). Les e-makimono peuvent donc être considérés comme des prototypes de manga, et ce dès le IXème siècle.

    Le manga contemporain est un creuset où de multiples influences se sont mélangées sous l’impulsion d’Osamu Tezuka qui a révolutionné les codes du manga. Inspiré par les productions hollywoodiennes, il a introduit le découpage cinématographique en modifiant la forme des cases.

    Elles peuvent même se succéder en petit format représentant la même action sous différents angles, introduisant ainsi une impression de ralenti, donnant au manga un rythme soutenu de film d’action. 

     

    * À Vous de Voir * Restons encore un peu avec le Japon


    L’influence controversée est celle des « gros yeux ». Tezuka était tombé sous le charme des grands yeux de la Blanche Neige de Disney, qu’il trouvait très expressifs, et a décidé de les intégrer à ses dessins, et la technique est restée.

    Les manga ont un style de la narration particulier. Au Japon l’auteur place les personnages au centre de l’intrigue, et facilite l’identification avec le lecteur. Alors qu’en Europe le décor a souvent une fonction narrative, au Japon l’aspect humain est primordial. Dans les manga s’adressant au public féminin, il est fréquent de voir les auteurs femmes s’adresser directement au lecteur dans un coin de page pour lui parler de son travail ou de ses occupations.

    Le manga arrive en France sous forme de dessins animés dans les années 70 pour alimenter les programmes télé jeunesse. Ainsi Goldorak, Candy, Albator et Capitaine Flam feront un carton sur les chaînes nationales françaises suivis de près par Astro, le petit Robot et le Roi Léo de Tezuka.

     

    * À Vous de Voir * Restons encore un peu avec le Japon

     

    Dernières infos avant de vous lancer :

    §       Les manga se lisent de droite à gauche et de haut en bas, tout simplement parce que c'est le sens de lecture japonais (du moins un des sens possible). La plupart des éditeurs français ont choisi de respecter le sens original de lecture.

    §       C'est en noir et blanc, ils ont l'argent pour la couleur. Mode d’impression issue d’une contrainte héritée des restrictions de l'après Seconde Guerre mondiale, c'est un mode de production propre au médium nippon. La grande majorité des manga paraissent en revues et dans des magazines au Japon, avec un rythme de parution très élevé. Les planches sont pensées en noir et blanc pour tenir les délais et pour que les journaux de prépublication ne coûtent pas trop chers. Cette contrainte pousse les mangaka à trouver d'autres solutions comme les trames, les lignes de force, l'absence ponctuelle de décors, etc. Une fois publiés en recueils - Tankōbon (correspond à ce que nous avons en France) ou Bunko (mini recueil au format A6, plus compact) - certains auteurs colorisent les premières pages pour capter l'attention du lecteur, c'est l'accroche.

    §   Le seinen manga, manga pour les hommes de 15 à 30 ans, est à opposer au josei manga ou Shōjo, le manga pour jeune femme. 

     

     

     

    les 25 et 26 mars 2017
    Pavillon 2, Paris Porte de Versailles- Paris 15e

     

     

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    * À Vous de Voir * « Au bonheur des dames »

     

     

    La collection Matsuzakaya, fondée en 1611, a joué un rôle majeur dans la production et la diffusion du kimono. Jadis porté comme sous-vêtement par l'aristocratie, il deviendra une parure extérieure adoptée par les Samouraïs, puis par toutes les classes de la population. Avec le mouvement du japonisme au milieu du 19ème siècle, les femmes françaises le porteront comme robe de chambre. 

     

    * À Vous de Voir * « Au bonheur des dames »

    Katabira à motifs de prunier, quadrillage, chrysanthèmes et lespédèzes

    Teinture yuzen et pochoir suri bitta sur fond en lin blanc – Prem. Moitié du XVIIIe siècle

     

     

    * À Vous de Voir * « Au bonheur des dames »

    Kosode à motifs camélia sur fond en satin de soie shusu blanc

    Prem. Moitié du XVIIIe siècle

     

     

    Pas moins de 150 pièces prestigieuses exposées, et c’est l'histoire de ce vêtement essentiel dans la garde-robe japonaise datant de l'époque d'Edo (1603-1868) jusqu'à la période contemporaine et sa place dans la haute couture occidentale (Paul Poiret et Madeleine Vionnet, puis avec Yves Saint Laurent, Jean-Paul Gaultier, John Galliano...) qui nous est contée.

     

     

     

    « Kimono, au bonheur des dames »

    Musée GUIMET Paris 16e - Du 22 février au 22 mai 2017

     

     

     

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