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    * COULEURS * Mise en scène II : Ambiance zen au salon

     

    Mékaké à l'encre (de Chine et couleurs) pour une ambiance Zen au salon.

     

     

     

     

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    * L'ENCRIER * « Rêve de Pluie »

     

     

    Chaleur du jour, puis,

    le ciel claironnerait,

    roulant de gros galets gris.

    Le sol dégoulinant de lumières,

    les couleurs feraient naufrage,

    en flaques.

     

    Ce soir n’est qu’un rêve.

     

     

     

     

    Anna – Juin 2021

     

     

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    * COULEURS * Comme une mise en scène, à la cuisine

     

    Quand toile et peinture aux murs se marient...

    Couleurs et lieux de vie font toujours belle déco.

     

     

     

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    Pour des raisons de santé, je suis contrainte d'annuler ma participation.

    Avec grand regret et toutes mes excuses à Fabienne, Liliane et Virginie ouch

     

     

    * À Vous de Voir * En Expo à Tours

     

    Quel bonheur, quand la vie culturelle reprend du pep's !

    Je remercie l'Association Val de l'Art de m'offrir cette brassée joyeuse et souriante.

     

     Au programme du jour 

    Peinture : Ma collection « Little Kitchen » sortira enfin de ses cartons

    Roman : Je dédicacerai mon livre « L'Acier et la Soie »

    (Possibilité de vente sur place)

     

    Je vous retrouverai donc avec grand plaisir

     

    Le 12 Juin 2021 de 10H à 19H

    Résidence Richmond Hill - 18 Rue des Violettes - 37 Tours Nord

     

     

     

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    * À Vous de Voir * Le fauve Jean PUY, une expo ensoleillée

    Jean PUY - Le Hamac à Saint-Alban - 1904 

     

    Après avoir étudié l’architecture à l’École nationale des beaux-arts de Lyon, puis la peinture à l’Académie Julian (1897-1898), Jean PUY rencontre Henri MATISSE et d’autres artistes partageant les mêmes idées. Jean PUY exposera son travail d’abord impressionniste en 1901 au Salon des Indépendants. Plus tard, sa peinture évolue vers le fauvisme, notamment au Salon d’Automne du Grand Palais en 1905 avec son œuvre Flânerie sous les pins.

     

    * À Vous de Voir * Le fauve Jean PUY, une expo ensoleillée

    Jean Puy - Flânerie sous les pins - 1905

     

    La salle réservée à ces « nouveaux » fauves, dont MATISSE promu « fauve en chef », fait scandale. Sous la plume de Louis VAUXCELLES, le journal illustré « L’Illustration » raconte :

    « J’avoue ne pas comprendre. Une femme nue laide est allongée sur l’herbe d’un bleu opaque sous les palmiers » (commentaire sur « Le Nu bleu » - MATISSE)…

    Plus loin

    « C’est un effet artistique tendant vers l’abstrait qui m’échappe complètement »… « Un mouvement que je considère comme dangereux se dessine au sein d’un petit clan de jeunes. Une chapelle a été établie, deux prêtes hautains officiant, MM DERAIN et MATISSE. Quelques dizaines de catéchumènes innocents ont reçu leur baptême ».

    * À Vous de Voir * Le fauve Jean PUY, une expo ensoleillée

    Jean PUY - Barques vertes à Collioure - 1913

     

    Pourtant, le marchand d’art parisien Ambroise VOLLARD, connu pour avoir révélé CÉZANNE, GAUGUIN, RENOIR, VAN GOGH…, décide d’acquérir la toile de Jean PUY, mais aussi, achète l’intégralité de l’atelier de l’artiste et le prend sous contrat pour 20 ans. Comme quoi, tous n’étaient pas réticents à cette « révolution fauve » aux couleurs intenses et saturées : falaises aux herbes dorées, criques aux bassins verts, plages au sable rose…

     

    Le musée DÉCHELETTE met en lumière les œuvres de cet enfant de Roanne avec près d’une centaine de portraits, nus, paysages et dessins, mais également des peintures sur faïences provenant de sa collaboration avec le céramiste André METTHEY.

     

     

     

    Du 19 mai au 6 Juin 2021

    Musée Joseph DÉCHELETTE – 42 Roanne

    Réservation obligatoire

     

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    * À Vous de Voir * Couleur bleu Denim, du tissu au tableau

     

    Historiquement, l’indigo est une matière colorante bleue violacée extraite de l’arbuste indigotier. Ce bleu très profond obtenu en a pris le nom : l’indigo. Il fut importé des Indes dès l’Antiquité, mais on aurait également trouvé des indices au Pérou remontant à plus de 6000 ans…

     

    * À Vous de Voir * Couleur bleu Denim, du tissu au tableau

     

    Bref éclairage : Les feuilles sont d’abord compactées pour obtenir une pâte. Celle-ci sera diluée dans une cuve d’eau chaude à laquelle on ajoute de la chaux ou des cendres. La mixture doit décanter, on ajoute des substances sucrées, comme la mélasse, pour renforcer la teinture. Le tissu est plongé dans ce mélange pour une durée plus ou moins longue selon l’intensité du bleu souhaitée. Mais le procédé prend au minimum plusieurs semaines. Le tissu prendra sa jolie couleur bleue au contact de l’air par réaction d’oxydation. Le marché mondial du Blue Jean par teinture végétale nécessite 45.000 tonnes d’indigo par an. D’où la création d’une version synthétisée par les scientifiques, qui malheureusement utilise des produits chimiques bien loin du naturel et de l’écologie.

     

    * À Vous de Voir * Couleur bleu Denim, du tissu au tableau

     

    La jeune artiste turque Deniz Sağdıç propose une réutilisation des jeans originale : les découper pour les transformer en portraits grands formats. Tout y passe, le tissu bien sûr, mais également fermeture éclair, boutons, rivets… Et en jouant avec les multiples variations du bleu, la totalité du jean devient un tableau impressionnant, dont certaines spirales donneraient presque le vertige.

     

    * À Vous de Voir * Couleur bleu Denim, du tissu au tableau   * À Vous de Voir * Couleur bleu Denim, du tissu au tableau

     

     

    À vous de récupérer, découper et ... lancez-vous !

     

     

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    * À Vous de Voir * RENOIR et son coup de pinceau

    Auguste Renoir  - portrait par Marie-Félix Hippolyte-Lucas

     

    Je vous propose de plonger dans le grand bain des couleurs avec Pierre-Auguste RENOIR. Comment reconnaître son « coup de pinceau » ?

     

    * À Vous de Voir * RENOIR et son coup de pinceau

    L'Estaque - 1882

     

    C’est pendant qu’il peignait la Seine, avec son ami Claude MONET, qu’il a eu une révélation. Les ombres portées ne sont pas brunes ou noires, elles sont aussi colorées que les objets qui les propagent. Et RENOIR a su en jouer. Pourtant, il paraîtrait qu’il n’utilisait que 5 couleurs de bases sur sa palette. Ancien peintre sur porcelaine, il en avait gardé la technique pour mélanger les couleurs et en obtenir les teintes les plus variées. Ainsi, jusque dans leurs ombres, les toiles de RENOIR sont de véritables arcs-en-ciel.

     

    * À Vous de Voir * RENOIR et son coup de pinceau

    Bal au Moulin de la Galette - 1876

     

    L’autre grande différence entre RENOIR et les autres peintres impressionnistes, c’est sa passion pour l’être humain. Il lui arrive de peindre des paysages, mais globalement, il peint surtout des hommes et des femmes. Ainsi en 1869, lorsque MONET et RENOIR posent leur chevalet sur l’île de la Grenouillère (Croissy-sur-Seine), si le premier va montrer les paysages en cadrant large, le second en fera des plans plus resserrés. RENOIR marquera également sa préférence pour le nu.

     

    * À Vous de Voir * RENOIR et son coup de pinceau

    Jeanne Samary - 1877

     

    Estimant qu’il y a assez de belles choses dans la vie, RENOIR se focalise sur des représentations de la vie quotidienne, voire intimiste, des scènes plutôt heureuses ou des portraits. Les personnages sont le plus souvent rieurs, en conversation, semblent de bonne humeur, ou encore simplement présentent un visage calme et apaisé. Le noyau familial est aussi une source d’inspiration. 

     

     

    « Il m’a fallu cinq minutes pour faire un dessin,

    mais, j’ai mis soixante ans pour y arriver. »

                                                      Auguste Renoir

     

    À méditer…

     

     

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    * À Vous de Voir * Petit tour par « À la mère de famille »

     

    Souvenez-vous, la semaine dernière, je vous contais... Lisette, notre belle de nuit du Lamantin, qui avait acheté des berlingots multicolores pour Noël chez « À la mère de famille »

    Mais, saviez-vous que…

    * À Vous de Voir * Petit tour par « À la mère de famille »

     

     

    Rembobinons le temps au début des années 1761, Pierre-Jean BERNARD, muni d’un diplôme d’épicier (cela ne s’invente pas) décerné par le Procureur du Roi, ouvre une épicerie au 35 rue du Faubourg Montmartre. Par voie successorale, une des filles, épouse BRIDAULT, reprendra l’établissement en 1807, et va laisser le nom de « À la mère de famille ». Alexandre GRIMOD de la REYNIERE, premier critique gastronomique, consacrera une page à cette « Maison » dirigée par la jolie veuve BRICAULT, dont il vante les qualités d’épicière, dans son « Almanach des Gourmands ». À partir de 1825, la « Maison » devient une des épiceries les plus fines et réputées de Paris. Le Faubourg est devenu un quartier très à la mode, suite à l’installation à proximité (« la Nouvelle-Athènes » dans le 9e) de nombreux artistes romantiques, sur la rive nord de la rue Saint-Lazare.

    Avec le développement de la betterave sucrière, la confiserie prend un nouvel essor sous le Second Empire. En 1895, Georges LECŒUR rachète la boutique, fait imprimer des brochures publicitaires. À deux reprises, les confitures seront médaillées à l’Exposition Culinaire Internationale de Paris.

    Tout le monde ne sait pas que c’est à Chambray-les-Tours, en Indre-et-Loire, que se situe la fabrique « À la mère de famille », notamment des chocolats, de la transformation du cacao au bonbon final. Depuis le 19e siècle, la « Maison » collectionne plus de soixante recettes : les célèbres « Folies de l’écureuil » (amandes et noisettes caramélisées et enrobées de caco en poudre), les Florentins ou encore les incontournables Palets de Montmartre… Tellement bons, que l’on reste sous le choc’…

    C’est aussi la fabrication traditionnelle de confiseries. Parmi elles, le « Négus de Nevers » (caramel tendre chocolat ou café emprisonné dans une coque de caramel dur), dont la recette originelle risquait de disparaître.

     

     

    Allez découvrir ce paradis des douceurs situé à l'angle des rues du Faubourg Montmartre et Richer. Les plus gourmands ne pourront résister à pénétrer à l'intérieur...

     

    * À Vous de Voir * Petit tour par « À la mère de famille »

     

    Quand l’expression lèche vitrine prend tout son sens...

     

     

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    * L'ENCRIER * « L'Acier et La Soie » - Extrait

     

    Noël à bord…

     

    « …

    Lisette, Lili belle-de-nuit, proposa de faire le réveillon de Noël sur Le Lamantin. Chacun apporterait son panier. Bougies et guirlandes faites de chutes de crépon coloré égaieraient le salon flottant. À la nuit, Agathe arriva avec un grand plat de poularde encore chaude, suivie de William, puis de Gaspard et Toine du Nivernais qui attendaient un char­gement de coke pour Auxerre. Matthijs, surnommé « Matt’ Maous », son épouse Florentine et leurs deux galapiats, arri­vés des Flandres trois jours avant, étaient déjà là. Victorine et Pauline, également conviées, viendraient dès leur service terminé. Chacun déballa ses victuailles à la communauté, soupe de navets et pois cassés, tourte au lard, pâtés de tête à l’ail, pommes de terre. Les mignards se précipitèrent aussitôt sur les olibollens, beignets au sucre préparés par leur mère, et la petite poignée de berlingots multicolores achetée la veille par Lili dans la rue du Faubourg Montmartre à l’enseigne À la mère de famille, une fabrique de confitures et confiseries.

    — C’est pas tous les jours fête ! Hein ?

    Les bras levés, Vicky fit une entrée éblouissante, exhibant deux bouteilles de sauteuse, kidnappées par Gambette. Il y avait également Charlotte, qu’elles n’avaient pas revue depuis la scène libertine à Montmartre. Et on porta des brindes à l’un, puis aux autres. Ça riait à tue-tête, chantait à plus soif et dansait jusqu’à l’extinction des voix et des derniers lumignons. Ça s’embruma l’esprit pour décapiter la mouise agglutinée, le temps d’un p’tit Jésus, auquel personne ne croyait.

    Frigidité matinale, une pellicule blanche masquait le fleuve. Les trois hublots du Lamantin ressemblaient à des flocons givrés. Dans des vieux relents de sueurs, d’alcools forts et de restes bâfrés, l’intérieur du bateau dégageait sa propre chaleur.

     

    Les corps s’étaient endormis tels quels, tombant un à un de fatigue ou d’ivresse. Florentine assise sur une couverture jetée au sol, les jambes tendues, serrait son aîné dans les bras. Le plus jeune, le pouce encore accroché à sa bouche entrou­verte, blottissait sa tête sur les genoux de sa mère. Matthijs et Gaspard avachis, le front ou la joue sur un bras à même la carante, entre les carafes vides et les gamelles débarbouil­lées jusqu’à la fonte. Agathe s’était allongée sur le banc après avoir trop dansé. Près du poêle somnolant, la vieille carcasse de William brondissait élégamment à chaque courant nasal. Même son sommeil avait cette touche de coquetterie britan­nique. Kosto avait réussi à s’incruster en boule, entre Vicky et Pauline serrées sur une paillasse dans le coin de la pièce. Bien avant, Lili avait rejoint son carré. Nue, sa jambe gauche ressortait par-dessus les couvertures et chevauchait à moitié le Toine, qui ronflait comme la chaudière d’un tjalk, une fesse à l’air et la chemise ouverte sur son torse velu.

     

    … »

     

    * L'ENCRIER * « L'Acier et La Soie » - Extrait

    Toujours disponible dans les bonnes librairies yes

     

     

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    * À Vous de Voir * Alexandre NOZAL - Peintre voyageur

    La Seine à Asnières - 1891

     

    Le Petit Palais vient de bénéficier d’un don exceptionnel d’œuvres d’Alexandre NOZAL (1852-1929), peintre et dessinateur paysagiste, passionné de voyages. Il s’agit d’une centaine d’aquarelles, pastels, peintures à l’huile et carnets de dessins.

    Alexandre NOZAL développe son propre style, mais à y regarder de plus près, Claude MONET, Eugène BOUDIN, Albert LEBOURG, Constant TROYON ou les peintres de l’école de Barbizon exercent sur lui une forte influence. NOZAL, amoureux du paysage, exposera aux Salons de 1876 à 1929. Il est membre de la Société des artistes français, des Pastellistes français, et président de la Société des peintres de montagne. NOZAL sera présent aux Expositions universelles de 1889 et 1900.

     

    * À Vous de Voir * Alexandre NOZAL - Peintre voyageur

    L'étang - gouache

     

    À bicyclette, il se rend sur les bords de Seine, dans le Pas-de-Calais, dans les Alpes, les Pyrénées... mais aussi en Bretagne (avec une prédilection pour Saint Briac), en Normandie (Étretat, forcément), en Provence ou en Corse. Ses carnets dévoilent les méthodes et habitudes de travail de cet artiste voyageur, adaptant technique et conditions de travail.

     

    * À Vous de Voir * Alexandre NOZAL - Peintre voyageur

    * À Vous de Voir * Alexandre NOZAL - Peintre voyageur

    L’Eure à Incarville (Louviers) - Croquis préparatoire & Aquarelle

     

    Exemple pour ce dessin préparatoire : NOZAL esquisse son paysage d’un trait de plume sur une page de son carnet. Il pose rapidement quelques couleurs. Dans la réalisation de l’aquarelle finale, il repense la composition en plaçant la rivière plus au centre, n’utilise que des bleus et des verts pour créer une harmonie. Il donne de la texture par l’ajout de touches de gouache.

     

    * À Vous de Voir * Alexandre NOZAL - Peintre voyageur

    Jardin fleuri - Huile sur toile

     

    Entre naturalisme et Impressionnisme...

    Retrouvez tout Alexandre NOZAL sur le site Paris Musée

     

     

     

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    * À Vous de Voir * Art Nouveau et Peinture

    Camille Martin - Le Soir - 1896

     

    Né en réaction contre les dérives de l’industrialisation, l’Art Nouveau n’est pas un mouvement pictural à proprement parler, plutôt un mouvement artistique de la fin du XIXe / début XXe siècle s’appuyant sur l’esthétique des lignes courbes et faisant une place importante au végétal.

    Il concerne l’architecture, la décoration intérieure, le vitrail, la ferronnerie, la sculpture et la lithographie et accessoirement la peinture. Selon les pays, on parle de Jugendstil (Allemagne), de Stile Liberty (Italie). Le terme « Art Nouveau » a d’abord été utilisé en Belgique par la revue « L’Art Moderne » créée en 1881 par Oscar MAUS et Edmond PICARD.

     

    * À Vous de Voir * Art Nouveau et Peinture

    Alphonse MUCHA - Savonneries de Bagnolet

     

    En dessin, le plus connu est certainement le tchèque Alphonse MUCHA auteur de moult lithographies, souvent support de réclames commerciales, tout comme pour Jules CHERET , autre maître de l’affiche.

     

    * À Vous de Voir * Art Nouveau et Peinture

    Jules CHERET - Fête des fleurs - 1890

     

    Côté peinture, le prolifique nancéen Victor PROUVÉ, moins connue l’artiste anglaise Aubrey BEARDSLEY, chez qui on retrouve ces grandes arabesques caractéristiques, ou encore le néerlandais Georges de FEURE et sa série des « Femmes Fatales » très en vogue à l’époque.

     

    * À Vous de Voir * Art Nouveau et Peinture

     Victor PROUVÉ - La Joie de Vivre

     

    * À Vous de Voir * Art Nouveau et Peinture

    Aubrey BEARDSLEY - La Robe de Paon - 1892

     

    * À Vous de Voir * Art Nouveau et Peinture

    Georges de FEURE - Femmes Fatales

     

     

    Pour en découvrir plus, rendez vous sur le site de l’École de Nancy, en attendant de pouvoir vous y rendre.

     

     

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    À Vous de Jouer... La tête dans les nuages

     

    Avoir un peu la tête dans les nuages... cela fait du bien dans ces périodes troubles...

    Je vous propose une composition, comme toujours, facile à réaliser pour y prendre du plaisir quand on ne sait pas vraiment peindre ou dessiner. Essayez-vous à faire quelques nuages sur une feuille, puis hop ! lancez-vous !

     

    À Vous de Jouer... La tête dans les nuages

     

    Maintenant, c'est à Vous de jouer !

     

     

     

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    * COULEURS * Dans ma Collection EDO

    Edo Collection

    « Shogun» & « Mekake »

    Deux réalisations essentiellement à l'encre plus ou moins diluée,

    sur papier 61X76 cm vieilli artificiellement. 

     

     

     

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    * L'ENCRIER * « Alors on rentre »

     

     

    Sous un ciel trop bas,

    troupeaux serrés

    sur les rails d’un tram,

    tels des barreaux de taule en tôle,

    renvoyant au logis.

    Un dehors vite dedans.

    Alors, on rentre…

     

    Oui, non, peut-être, si, bientôt, cependant…

    Ordres, contre-ordres, désordre.

    On s’y perd, courage à nous.

    Suivre ces allées serpentines,

    faire onduler le temps

    pour éloigner la maison.

    Pourtant, on rentre…

     

    Comme une suite de mouvements disparus,

    la rue, le ciel, tout s’évide,

    se tait et se terre, s’embastille.

    Seul le soleil bouge encore.

    Absence des yeux perdus au loin,

    le front collé à la buée vitrée.

    On est rentré…

     

    Les rideaux de fer ne crient plus de rouille,

    et les gargotes crèvent de soif.

    Même le fantôme de l’Opéra se languide.

    Pavés aphones à l’ombre du soir,

    là-bas ou près d’Issy.

    Quand on sera mort,

    rentrera-t-on encore ?

     

     

    Anna – Mars 2021

     

     

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    * À Vous de Voir * « Dji les Voiles de la mort » Film Animation

     

    Beaucoup d'humour dans ce court métrage, de Dmitri VOLOSHIN et Serghei CHIRILLOV, où la mort se doit d'emporter ce pauvre pirate abandonné sur son radeau. Malchanceuse la mort me direz-vous ?  Cette animation a remporté de nombreux prix, on comprendra pourquoi !

     

     

     

    Belle journée à Toutes et Tous !

     

     

     

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